avis bandeau dreem 2

Test du bandeau Dreem 2 : une expérience de suivi du sommeil haut de gamme !

Il n’y a pas si longtemps, je vous parlais de Dreem, un bandeau dont la promesse est de faciliter l’endormissement, diminuer les réveils nocturnes et surtout, d’offrir un meilleur sommeil à tous ceux qui en sont privés.

Je ne vais pas revenir une énième fois sur les conséquences du manque de sommeil, internet est suffisamment documenté sur le sujet et j’en ai déjà longuement parlé dans la section insomnie de ce site.

D’autant que si vous êtes là, c’est qu’il y a fort à parier que votre sommeil n’est pas qualitatif/suffisant, et donc que vous connaissez parfaitement les conséquences d’un manque de mauvaise qualité.

Les troubles de sommeil sont-ils inhérents à notre société moderne ?

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Ce n’est pas impossible, les niveaux de stress montent en flèche dans ce monde ou notre regard et notre attention sont constamment sollicités, à tel point que l‘on ne s’accorde même plus 5 minutes pour s’ancrer dans le moment présent.

Le sommeil est logiquement devenu une grosse industrie avec des solutions qui émanent de partout pour l’améliorer, allant de la classique literie à des dispositifs d’aide à l’endormissement (comme dodow, Morphée Box, Zenspire) en passant par les bandeaux connectés de sommeil dont Dreem est le plus célèbre des précurseurs.

La vraie question demeure : est-ce que le bandeau Dreem 2 est efficace et peut il faire quelque chose pour vos troubles de sommeil ?

Dans mon dernier article, je me cantonnais à une analyse totalement subjective du produit, ce qui avait déjà aidé certains à se faire un avis plus précis sur le produit.

A l’occasion de la sortie de la deuxième version du bandeau Dreem au printemps  2019, j’ai voulu aller encore plus loin en réalisant moi-même un test complet pour vous donner mon avis.

Cela fait donc maintenant près de 3 mois que j’utilise Dreem 2 chaque soir au moment de dormir et pendant toute la nuit…verdict…

Pas le temps de lire ? Sautez à ma conclusion !

1. Présentation : ce qui change avec Dreem 2

Voici pour commencer les spécifications techniques du bandeau Dreem 2 :

  • Poids : 130g (là où la première version en pesait 120g)
  • Taille : unique, mais avec 3 ajusteurs S,M,L fournis et astucieux. Mesure de la tête : 520mm à 610mm
  • Capteurs : 6 capteurs EEG (électroencéphalographiques) 1 oxymètre de pouls, 1 accéléromètre et 1 sonomètre.
  • Autonomie de la batterie : 1200mAH, jusqu’à 12 heures de charge (comptez 2,5 heures pour être à 100%)
  • Compatibilité OS : iOS 10 et versions ultérieures, iPhone 5 et versions ultérieures, Android 5.0 et versions ultérieures
  • Audio : Système de conduction osseuse, prise casque 3,5 mm
  • Interface : Touchpad, Bouton, Indicateur LED
  • Connectivité : Bluetooth 4.0 Low Energy, Wi-Fi b/g/n 2.4Ghz & 5.0Ghz (toujours aucun CEM transmis pendant le sommeil)
  • Matériaux : TPU hypoallergénique, Textile doux, Mousse antitranspirante
  • Prix : 399€ ou 3*133€ sans frais

Voilà pour les caractéristiques sur le papier, je vais maintenant vous livrer mes premières impressions puis nous verrons en détail ce que ce bandeau a dans le ventre !

Mes premières impressions : luxe et légèreté

unboxing dreem 2Réception du colis, me voilà comme une folle à l’idée de découvrir ce qui sera mon compagnon de sommeil pour ces prochains mois.

À l’intérieur d’un packaging très épuré, je trouve finalement peu de choses : un câble de chargement Micro USB, une sélection d’adaptateurs pour l’alimentation (en fonction des pays) et trois ajusteurs interchangeables (taille S, M et L) en velcro..

Dans la  boîte, je trouve aussi un guide pour que je puisse prendre facilement le produit en main. J’ai directement ce sentiment d’être face à un objet haut de gamme, voir luxueux que l’on n’ose à peine toucher (à la manière d’un iPhone).

C’est beau, cela semble bien conçu et ça donne envie de se jeter dans l’aventure Dreem. Les lignes du bandeau sont très classe et très épurées. Tous les matériaux et composants ont un toucher et une finition parfaits.

Voyons maintenant spécifiquement améliorations apportées au nouveau bandeau Dreem 2.

Un tout nouveau niveau de confort

Le confort est la première chose que je remarque sur ce nouveau bandeau signé Dreem, on sent que l’intégralité des matériaux a été revue pour maximiser le confort et le port du dispositif durant la nuit.

On retrouve maintenant uniquement de la mousse et du tissu sur la partie inférieure qui vient se caler sur le front (la partie supérieure étant conçue pour abriter toute l’électronique, ce que nous verrons ensuite), ce qui est très agréable et ne gêne pas le moins du monde.

Le bandeau est recouvert d’un tissu TPU hypoallergénique doux et la structure architecturale est composée de deux fines bandes en tissu/mousse, une pour l’avant et une pour l’arrière de la tête, avec un arc supérieur plus volumineux qui abrite les circuits imprimés, les commandes tactiles et constitue le « centre névralgique » de l’appareil.

Si certains utilisateurs se plaignaient du confort du premier bandeau, c’est maintenant du passé avec une nouvelle conception plus flexible, souple et confortable.

Au niveau de l’ajustement, de petites bandes de velcro ingénieuses ont fait leur apparition, il en existe 3 de différentes tailles (afin de s’adapter à toutes les têtes, car avant le bandeau était de taille unique) qui offrent un ajustement sur mesure ! Pour moi c’est idéal et jamais en 3 mois le bandeau ne s’est fait la malle durant la nuit.

Ce n’est pas seulement une question de confort, il faut comprendre qu’avoir la taille de bandeau parfaite pour son crâne, c’est permettre aux capteurs d’être le plus précis possible dans le relevé des données en restant en perpétuel contact avec votre cuir chevelu.

Un pavé tactile toujours plus pratique

dreem 2

Bien que la conception du bandeau soit minimaliste, Dreem a fait des efforts supplémentaires pour s’assurer que vous puissiez l’utiliser comme un appareil autonome. Il n’est en effet pas question d’utiliser son smartphone pour pouvoir piloter le bandeau pour des opérations comme de lancer une nuit ou l’arrêter.

C’est d’autant plus important que l’un des principes fondamentaux d’une bonne hygiène de sommeil est d’essayer de garder toutes les distractions/écrans hors de la chambre à coucher.

C’est pourquoi Dreem propose un pavé tactile multifonctionnel dans l’arche supérieure du bandeau, ce qui permet notamment de :

  • démarrer votre nuit via une pression longue
  • démarrer/arrêter une technique de relaxation en effectuant un « double-tap »
  • régler le volume de réveil/méditation en glissant vers la gauche ou vers la droite
  • relancer une technique de relaxation pendant la nuit (ou quand bon vous semble)

Tout fonctionne très bien, même s’il m’arrive parfois de tâtonner le matin au réveil (quand je n’ai pas toute ma tête) pour faire taire les petits oiseaux qui me réveillent.

Si ces caractéristiques peuvent sembler mineures, elles changent radicalement l’expérience utilisateur de l’appareil. Sans ce pavé tactile, il faudrait constamment piloter Dreem depuis le téléphone, c’est juste impensable (Bluetooth activé + regard sur l’écran, des choses que l’on veut éviter avant de passer une bonne nuit).

cadran du dreemL’application n’a pas besoin de tourner sur votre téléphone pour que le bandeau recueille vos données durant votre nuit (grâce à son dispositif de stockage intégré). Ainsi, votre smartphone peut être en mode avion ou en dehors de votre chambre,dans la pièce d’à côté, aucun problème ! Il n’y a donc pas d’ondes pendant la nuit, ce qui est pour moi un énorme plus quand on sait l’impact que cela peut avoir sur notre cerveau.

Avant d’aller dormir, appuyer longuement sur le pavé tactile et c’est parti. Lorsque vous lancez un technique d’aide à l’endormissement à partir du pavé tactile, il utilisera évidemment les derniers réglages que vous avez paramétré.

Ce qui signifie que si vous voulez modifier quoi que ce soit (changer l’heure du réveil, votre sonnerie de réveil, votre programme d’endormissement, etc.), vous devez tout de même utiliser votre téléphone.

Un système audio par conduction osseuse bluffant !

dreem conduction osseuseQuelle surprise lorsque le bandeau s’est adressé à moi pour la première fois…

Au centre de la bande frontale, juste entre les capteurs biométriques se trouve le système appelé conduction osseuse (en savoir + sur le blog de Dreem ici).

Vous êtes peut-être (comme moi au début de mon utilisation avec Dreem) complètement étranger de cette technologie ! En fait, au lieu d’utiliser les vibrations sonores dans l’air (via des haut-parleurs ou des écouteurs classiques), le système de conduction osseuse transmet directement les sons à votre oreille interne en venant faire vibrer votre boîte crânienne.

Bluffant !

Personnellement, j’étais sur les fesses en découvrant ça, mais après avoir décidé d’en apprendre un peu plus sur cette technologie, je me suis rendue compte qu’elle n’avait rien de nouveau, existant en fait depuis…des centaines d’années !

Elle est aujourd’hui appliquée dans de nombreux appareils comme les prothèses auditives. La réalité c’est que peu de produits l’utilisent, car elle est assez capricieuse en termes d’ingénierie et de design.

Ici, elle fait parfaitement sens, puisqu’elle rend l’expérience sonore à la fois immersive et intimiste. En effet, vous êtes le seul à entendre les sons du bandeau et donc vous ne dérangez  pas les personnes qui dorment avec vous. Par exemple, je peux profiter de ma méditation pour m’endormir sans que mon compagnon n’en soit gêné, plutôt très malin !

Personnellement, je trouve cela très agréable, j’ai l’impression qu’une voix me parle directement dans ma tête, ce qui rend l’expérience méditative bien plus immersive quand vient l’heure de s’endormir.

Les spécialistes vous diront que l’audio en conduction osseuse n’offre pas la même gamme de dynamique et de fréquence que celle que l’on peut avoir avec des écouteurs ou des haut-parleurs de bonne qualité, mais l’expérience n’a rien à voir non plus.

Ils vous diront sans doute aussi que l’audio n’est pas aussi fiable, mais dans le cas de Dreem, ça fonctionne à merveille ! La qualité sonore est réellement excellente et l’on peut percevoir foule de petits détails sur certains des paysages sonores ambiants intégrés.

Quand mes petits oiseaux me réveillent le matin (via l’alarme intelligente de Dreem), je suis littéralement transporté dans un monde imaginaire, sorte de canopée fantastique.

Le bandeau offre la possibilité de régler le volume sonore via le touchpad de l’arche supérieure du bandeau, ce qui m’est bien utile. Une chose qui m’a intriguée, c’est que l’expérience audio était meilleure pour moi lorsque je dormais sur le côté que lorsque je me couchais sur le dos.

Si vous portez comme moi des boules quies, cela ne va pas empêcher la diffusion du son mais va au contraire vous couper des sons extérieurs et rendre votre expérience plus immersive, isolante et apaisante.

Si vraiment vous n’aimez pas le système de conduction osseuse, vous pouvez le contourner complètement grâce à la prise jack intégrée.

Des mesures de qualité professionnelles

avis bandeau sommeil dreem 2
La face avant du Dreem avec ses 4 capteurs EEG, son haut-parleur à conduction osseuse (au centre) et son oxymètre de pouls (à l’extrême gauche)

Capteurs électroencéphalogramme (EEG) :

En plus de surveiller et d’enregistrer l’activité de votre cerveau pendant que vous dormez, ces capteurs fournissent des données en temps réel bien utiles à de nombreuses fonctionnalités du bandeau.

Tout d’abord, le bandeau Dreem analyse votre activité cérébrale grâce à des électrodes EEG qui sont le fruit d’une conception interne brevetée, faite d’une combinaison de silicone, et de carbone, capable de capter de façon incroyablement précise des pics électriques d’activité cérébrale via le front et à travers les cheveux de l’utilisateur (ou directement sur le crâne pour ceux qui en seraient dépourvus).

Ces données permettent d’obtenir des mesures très pointues et facilement exploitables.

Capter l’activité cérébrale est la seule manière d’analyser précisément les différentes phases de sommeil. Par exemple, des caractéristiques comme les complexes K, des marqueurs du sommeil de stade 2 (léger), ne peuvent être détectées qu’avec ce type de capteurs.

On comprend dès lors que les trackers de sommeil du commerce comme les bracelets fitBit ou n’importe quelle application smartphone, basés uniquement sur les données de mouvement et de fréquence cardiaque sont incomplets et ne peuvent absolument pas différencier la « veille immobile » (quand vous êtes couché sur votre lit sans bouger) et le sommeil réel.

Au total, ce sont six de ces capteurs EEG qui sont intégrés au bandeau Dreem, dont 4 à l’avant du bandeau (en position préfrontale) et deux à l’arrière (en position occipitale). 5 relèvent réellement des données, tandis que la 6e est davantage une électrode d’étalonnage d’après ce que j’ai pu comprendre en me renseignant sur le produit.

On ne peut pas vraiment vérifier avec certitude en tant qu’utilisateur si les capteurs enregistrent les données correctement, mais on peut tout de même se rendre dans la section live de l’application pour avoir une projection en temps réel qui nous rappelle que nous ne sommes pas, fort heureusement, en état de mort cérébrale. Celle-ci offre une vue instantanée de la fréquence cardiaque actuelle via l’oxymètre de pouls.

Electrodes arrière :

photo du dreem 2

Il est assez étonnant d’apprendre que ces petites électrodes placées à l’arrière du bandeau peuvent également acquérir des signaux électriques à travers les cheveux de l’utilisateur, surtout qu’à première vue, ces dernières ressemblent plutôt à des barrettes de cheveux plutôt qu’à un capteur d’activité cérébrale de haute volée.

En fait, cela permet de mesurer la différence de potentiel avec celles placées à l’avant et donc de  mesurer précisément l’activité électriques de votre cerveau.

Pas d’inquiétude, cela est totalement sans risque. De plus, ces électrodes sont conçues d’un matériau très souple et flexible pour éviter les épisodes d’enchevêtrement de cheveux et les problèmes de confort rapportés par certains utilisateurs de Dreem 1.

Oxymètre de pouls et accéléromètre :

En plus des capteurs EEG qui mesurent l’activité du cerveau, la partie frontale comporte également un oxymètre de pouls pour mesurer la fréquence cardiaque et la saturation en oxygène dans le sang, une autre donnée importante utilisée pour déterminer avec précision votre fréquence cardiaque.

Enfin, un accéléromètre se charge de détecter les mouvements pendant votre sommeil ainsi que votre  fréquence respiratoire. Il est quant à lui intégré dans la partie supérieure qui repose sur le dessus du crâne. Ainsi placé, il est aisé d’avoir l’indication de la position de sommeil pendant la nuit.

Vous pouvez ainsi voir au petit matin à quel moment de la nuit vous avez changé de position et laquelle vous avez adopté (tourné vers la droite/gauche, sur le dos, sur le ventre), c’est très drôle à vérifier !

Une autonomie confortable

Dreem recommande aux utilisateurs de recharger le bandeau tous les matins. Le bon réflexe à adopter et de mettre en charge le bandeau dès que celui-ci vous réveille, ce qui met automatiquement fin à la nuit en cours.

De plus, un dock de chargement est maintenant disponible à l’achat sur le site de la marque. Cela permet de poser le bandeau facilement sur la table de nuit ce qui est bien pratique dès qu’on se réveille.

Ceci étant dit, je n’y pense personnellement pas toujours, et il n’est pas rare que je parvienne à faire deux nuits avec (relativement courtes, certes).

Quoi qu’il en soit, l’application vous alerte si vous êtes en dessous de 60% de batterie et vous donne une estimation de l’heure à laquelle Dreem s’éteindra.

Vous pouvez à tout moment voir le niveau exact de batterie dans l’application, et procéder à une rapide vérification en regardant le bouton d’alimentation et son code couleur : orange = pas assez de batterie et doit être rechargé, bleu = au moins 60% de charge.

Le bandeau tient en tout cas largement pour endurer une longue nuit + une sieste dans la journée, je peux vous l’affirmer !

Le plus important : toujours aucune onde durant votre sommeil !

utilisation du dream 2
Dreem, c’est surtout l’assurance d’avoir zéro onde durant la nuit, les transmissions Wifi et Bluetooth étant désactivées durant le sommeil. Vous n’avez donc pas à vous soucier des champs électromagnétiques.

Le pavé tactile tactile qui rend le bandeau Dreem autonome procure un autre avantage que celui de ne pas avoir à être proche de son téléphone…on s’assure qu’il n’y ait aucun champ électrique et magnétique qui transite durant la nuit.

Vous savez que ces derniers font l’objet de débats très controversés, et il n’y a pas de véritable consensus scientifique, mais la théorie de base avancée par certains est que les ondes invisibles envoyées par nos gadgets, téléphones, micro-ondes, principalement via wifi et bluetooth, peuvent avoir des effets nocifs sur la santé, y compris sur votre sommeil.

bandeau dreemQu’on y croit ou non, je pense que c’est tout de même une bonne chose que les ingénieurs de Dreem aient pensé à ce point, et cela me parait normal de couper tout champ magnétique lorsque l’on développe une solution pour des personnes qui souffrent déjà suffisamment de leurs troubles du sommeil.

En pratique, une fois votre nuit lancée via le programme, le bandeau coupe tout contact avec le monde extérieur, il n’y a donc plus aucune émission Bluetooth ou Wifi lorsque vous dormez, terminé bonne nuit.

Performances en hausse, prix en baisse !

acheter dreem

Dreem 2, le bandeau qui améliore votre sommeil

Dreem 2 est un bandeau qu’on porte la nuit et qui analyse l’activité cérébrale et fournit des conseils en journée pour aider à améliorer le sommeil.

  • propose des programmes de coaching sur mesure pour vous aider à régler vos troubles du sommeil
  • aide à se relaxer et à diminuer le temps d’endormissement avec des techniques de relaxation, de respiration, de méditation et de sophrologie
  • stimule la phase de sommeil profond pour le rendre de meilleure qualité
  • réveille sur une fenêtre de 30 minutes avant votre réveil au moment ou vous êtes le plus proche du sommeil léger afin que vous vous leviez moins fatigué.
  • est fournit avec une app’ mobile claire qui aide à comprendre, analyser et améliorer son sommeil sur le long terme.
  • payable en 3x 133€ sans frais

La mission de Dreem est d’aider le plus de gens à résoudre leurs troubles du sommeil, en rendant le bandeau accessible tout en améliorant sa qualité et précision.

Le prix n’a donc pas baissé malgré la hausse de la technologie embarquée ! Il reste de 399€ et la bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de payer en 3 fois sans frais (3×133€).

bandeau connecté dreem 2 porté

Comment bien mettre le bandeau ?

Allez je termine cette section avec un petit tuto, parce que j’ai un peu lutté au début pour bien ajuster mon bandeau (disons que mon intuition m’a porté à disposer le bandeau à l’inverse de ce qu’il aurait dû être, la partie large est la partie qui doit se trouver sur le dessus de votre tête).

Est-ce que le Dreem est confortable ? Oui, quand c’est bien ajusté !

Au début il m’arrivait que le bandeau glisse légèrement de mon front pendant la nuit, puis j’ai resserré l’ajustement grâce aux bandelettes velcro fournies et plus de problème. Le confort du port s’en est également vu amélioré.

J’ai été agréablement surprise par le niveau de confort, on ne sent en aucun cas de surface dure plaquée contre la tête malgré les électrodes, et je pense que l’ajout de mousse supplémentaire n’y est pas pour rien. Que je dorme sur le dos ou sur le côté, R.A.S, je ne suis pas gênée.

La seule partie vraiment rigide et inflexible du bandeau se trouve être l’arcade supérieure, mais comme cette partie se trouve près au sommet de votre crâne, elle ne présente elle non plus aucune gêne. Le plus important, c’est que je me réveille chaque matin et que mes cheveux ne sont pas tout emmêlés !

Si mon partenaire était au début moqueur de mon nouveau style nocturne, il est désormais un tantinet jaloux, et ce qui suit devrait vous expliquer pourquoi…

2. Comment Dreem2 fonctionne…concrètement ?

Maintenant que nous avons passé en revue le bandeau et ses spécificités, voyons concrètement comment il est supposé améliorer votre sommeil (après tout c’est pour ça que vous êtes ici non ?).

Quand j’ai reçu mon Dreem 2, j’ai tout de suite souhaité en découdre en rejoignant un des programmes, mais j’avais oublié que ce n’est pas comme ça que cela fonctionne…en effet, il faut au préalable en passer par une phase d’évaluation du sommeil, qui donnera suite à une phase de restructuration.

L’évaluation du sommeil

Avant de pouvoir vous plonger et déverrouiller toutes les fonctions de l’application, vous devez installer l’application sur votre smartphone, appareiller l’appareil et effectuer une évaluation initiale de votre sommeil qui remplit plusieurs fonctions.

C’est dans un premier temps une bonne manière de vous habituer aux sensations particulières de dormir avec un bandeau sur la tête (personnellement l’adaptation a été très rapide puisque je suis coutumière de la sieste avec un banal masque de sommeil ou des boules quies)

Cette période de 7 jours est aussi le moment opportun pour découvrir progressivement les (nombreuses) caractéristiques et fonctionnalités de l’application.

Le recueil de vos 7 premières nuits avec le bandeau va permettre aux algorithmes de « machine learning » de construire votre profil basé sur vos données et de comprendre votre comportement ainsi que votre hygiène de sommeil, dans le but de faire des recommandations initiales appropriées.

Cette période de 7 jours est aussi le moment opportun pour découvrir progressivement les (nombreuses) caractéristiques et fonctionnalités de l’application.

A noter également que Dreem mesure le sommeil avec la même précision qu’une polysomnographie, les outils utilisés dans les cliniques du sommeil (quand l’on doit aller dormir à l’hôpital avec des électrodes sur la tête et des fils de partout) depuis le confort de son lit. Cela a d’ailleurs été prouvé par une publications scientifique : https://www.biorxiv.org/content/10.1101/662734v1.

Dans le cadre de ses programmes pour les patients insomniaques, Dreem travaille en partenariat étroit avec la communauté médicale, que ce soit les médecins généraliste, les psychologues ou encore certaines cliniques du sommeil qui recommandent désormais la solution à leur patients ou l’utilisent directement dans le cadre de leur activité.

C’est une volonté de l’entreprise de se rapprocher toujours plus de la sphère médicale avec des nouveaux modes d’utilisation de notre solution qui a prouvé son efficacité auprès de nos utilisateurs et des essais cliniques que nous avons menés par le passé (Dreem est d’ailleurs reconnu comme dispositif médical aux Etats-Unis).

En résumé, Dreem se développe pour aider la communauté médicale en rendant plus facile la prise en charge des patients souffrant de problèmes de sommeil en proposant de nouvelles solutions innovantes, non médicamenteuses et basé sur les thérapies de référence à l’insomnie.

Voici comment s’est déroulée ma propre période d’évaluation :

Je me suis réveillée avec un léger mal de crâne le tout premier matin et j’ai logiquement craint que le port du bandeau y soit lié (ce qui m’étonnait un peu puisque pas d’ondes la nuit).

Il s’est avéré que ce n’était finalement pas le cas, car je n’ai eu aucun souci les réveils suivants.

Quoi qu’il en soit j’ai directement noté que le réveil via Dreem et sa technologie de conduction osseuse se veut fort agréable, avec cette sensation (comme je l’ai déjà dit quelques lignes plus haut) d’avoir de véritables petits oiseaux chantant dans ma tête (comme une bulle), si bien que le processus est très doux et très progressif.

La première nuit, j’ai dormi un peu comme la veille d’une rentrée des classes ou d’un soir de Noël, avec l’excitation de découvrir ce que m’indiquerait le bandeau à mon réveil le lendemain.

données de sommeil sur l'application
Chaque matin vous pouvez découvrir les données de sommeil de votre nuit, simplement.

J’ai découvert plusieurs données qui apparaissent tous les matins au sein de la carte de nuit :

  • une vue rapide des périodes de sommeil et d’éveil (respectivement en blanc et en rose clair sur l’arc de cercle autour e l’horloge de la photo la plus à droite ci-dessus)
  • efficacité de sommeil (en %), plus il est haut, plus votre temps passé au lit est consacré à dormir
  • la durée d’endormissement entre le moment ou vous fermez les yeux et le moment ou le premier sommeil est consolidé
  • le nombre d’éveil (de plus de deux minutes) lors de chaque nuit
  • la durée d’éveil (cumul des éveils de plus de deux minutes)
  • la forme en journée, une indication à remplir vous même
  • le respect de l’agenda de sommeil
  • le rythme cardiaque et la fréquence respiratoire moyens
  • les différents changements de positions de sommeil durant la nuit (c’est fou de voir à combien de reprises on se retourne pendant la nuit !)
  • les différents stades de sommeil (profond, REM, léger, éveil)

Je note dès le premier réveil qu’il y a bien une fonction snooze avec le bandeau (disponible en appuyant une fois sur le pad quand le réveil sonne), mais celle-ci n’est malheureusement pas paramétrable au niveau de la durée (elle est trop courte à mon goût). Cela peut sans doute s’expliquer du fait que le réveil intelligent vous sort du sommeil au moment propice sur une plage de 15 à 30 minutes en fonction de votre cycle de sommeil.

Je découvre aussi au matin un questionnaire d’auto évaluation qui permet à Dreem de faire plus ample connaissance avec moi.

La seconde nuit, j’ai dormi plus longtemps que la 1ère, mais j’ai aussi eu le sentiment d’avoir moins bien dormi, d’être plus fatiguée au réveil. Bim : c’est effectivement ce que traduisait l’hypnogramme de Dreem à mon réveil !

À ce stade, je revois un peu ma vision des choses. Je n’ai jamais souffert de problème de sommeil, mais je me rends compte que ce dernier peut toutefois être amélioré !

3e nuit : je pars au lit après un restaurant entre amis, j’ai donc bu (et ce n’est pas habituel loin de là) 1 bière et un café avant de dormir. Cette nuit-là mes BMP afficheront 60 au lieu de 48 !

Quant à la nuit, elle se révèle terrible avec 3 réveils nocturnes (pas des micros réveils) dont un engendré, par une crampe ! Le bandeau me lâchera vers 6h10 (il m’avait prévenu que la batterie était faible et ne tiendrait pas toute la nuit si je comptais me réveiller au-delà de 6h30).

Au réveil, je constate effectivement que mon score de sommeil n’était pas terrible, et dois encore répondre à un questionnaire subjectif sur mes habitudes de vie cette fois.

Rien à déclarer la nuit 4, j’ai dormi comme un bébé.

La nuit 5 fut encore mauvaise, j’avais cette fois-ci terminé une séance de sport intense à 22h la veille, j’ai donc mis beaucoup de temps à m’endormir, en plus de m’être réveillée suite à un cauchemar.

Pendant que je tergiverse dans le lit, je me pose la question de « comment le Dreem sait quand on dort exactement ? » et cela me stress un peu, car je veux maintenant faire de bons scores de sommeil, un peu comme dans un jeu où le but est de s’endormir le plus rapidement (cela disparaît avec l’habitude je vous rassure).

En fait, pour répondre à ma question, c’est très simple, l’activité cérébrale n’est tout simplement pas la même qu’on soit éveillé, dans une phase de sommeil léger, dans une phase de sommeil profond ou dans une phase de sommeil paradoxal. Rappelez-vous, je vous ai dis que Dreem analysait l’activité cérébrale grâce aux capteurs EEG et c’est donc comme cela qu’ils peuvent déterminer si je dors ou pas.

Le lendemain je suis encore debout grâce à cette douce sonnerie dans ma tête, qui ne réveille une fois de plus pas mon conjoint qui se lève plus tard, « vraiment pratique ce truck » me dis-je alors !

Je me fais aussi la réflexion qu’il manque quelques datas dans l’aperçu de la qualité sommeil, comme le cycle respiratoire maximal et minimal, le bpm max et min et le nombre total de changements de position.

Enfin, je me dis que le bandeau pourrait être très pratique pour voir si on a fait de l’apnée du sommeil vu qu’il analyse la respiration.

Cette pensée me fait remonter un souvenir qui date de plusieurs années auparavant quand j’avais fait un test à domicile pour détecter la gravité de mon problème d’apnée du sommeil. Une clinique spécialisée m’avait donc fourni un tas de matériel avec des électrodes à fixer un peu partout et je me dis que la technologie du Dreem n’a rien à envier à cette dernière, tout en étant bien plus pratique.

Peut être que Dreem travaillera sur cette fonctionnalité de manière plus poussée dans le futur.

Les deux dernières nuits, 6 et 7 ont été biaisées sur la durée, car l’alarme était restée paramétrée à 7h, sauf qu’on était samedi et dimanche…j’ai donc logiquement éteint le bandeau au matin pour pouvoir continuer ma nuit.

Il serait bon de pouvoir mettre des alarmes conditionnelles en fonction des jours de la semaine via l’application. Note, suite à la dernière mise à jour en date, c’est maintenant possible !

Je trouve qu’il serait également chouette d’être en mesure de connecter spotify à l’application Dreem pour se faire réveiller par une radio ou une playlist de son choix. Cependant, cela  nécessiterait de garder internet activé toute la nuit…à moins que le bandeau ne se serve dans les sons accessibles hors connexion.

Une fois la période d’évaluation terminée, le cœur du produit n’a toujours pas été dévoilé et les programmes de sommeil conçus pour changer vos habitudes de vie sur le long terme entrent dans la danse. Vous allez vous-même être acteur de votre sommeil pour une amélioration drastique de vos nuits !

Les durées de ces programmes sont variables et le plus long à ce jour dure 8 semaines.

Les différents programmes Dreem

programme dreem
Voici « Regain de Sommeil », l’un des 4 programmes Dreem dans lequel je suis actuellement (J6). On découvre chaque jour dans tout programme des vidéos, des conseils, des check list et bien plus encore !

Je pense que vous l’aurez compris, le contenu de Dreem est incroyablement riche ! J’ai l’impression d’écrire depuis déjà quelques bonnes heures et de ne vous avoir restitué seulement la face de l’iceberg en termes d’user expérience…

Une fois la période d’évaluation terminée, le plus excitant reste à venir avec les programmes de sommeil conçus pour changer vos habitudes de vie sur le long terme. Vous allez préparer le terrain pour une amélioration drastique de vos nuits !

Les durées de ces programmes sont variables et le plus long à ce jour dure 8 semaines.

Clairement, je ne les ai pas tous testés, car d’une part, cela prend du temps et d’autre part, certains ne sont réservés qu’aux personnes qui souffrent de graves troubles du sommeil. C’est le cas par exemple du programme basé sur la thérapie cognitive et comportementale et destiné aux insomniaques.

À ce stade vous comprenez que non seulement le bandeau Dreem est un puissant tracker de sommeil (sans aucun doute le meilleur du marché avec un condensé de technologies portatives), mais il est surtout en mesure d’offrir des solutions, d’améliorer véritablement les problèmes de sommeil des gens.

En fonction de vos problèmes de sommeil que  Dreem aurait détecté et de leur gravité, l’application va vous recommander un programme adapté  à vos besoin.

Il en existe 4 différents qui varient en terme de difficulté et de durée :

  1. Notions de base sur le sommeil – 2 semaines, facile (j’y ai pris part)
  2. Rituels – 3 semaines, Facile (je l’ai également suivi)
  3. Récupérer le sommeil – 2-3 semaines, moyenne (je ne l’ai pas encore testé)
  4. Restructuration du sommeil – 6-8 semaines, Avancé (celui-ci ne m’est clairement pas dédié)

Le programme Base du sommeil :

C’est quasiment un programme que l’on devrait enseigner à l’école !

Il est conçu pour être la première étape vers un sommeil plus sain, en mettant l’accent sur l’éducation au sommeil et la compréhension des mécanismes qui régulent ce dernier.

En y prenant part, vous aurez donc une série de vidéos quotidiennes qui vous expliquent comment fonctionnent le sommeil et ses différentes phases, ainsi qu’un coaching directement au sein de l’application.

Ce sont des choses que vous savez probablement déjà et que vous avez certainement lues 100 fois ailleurs, mais vous ne les avez pas pour autant mis en application.

Avec Dreem, vous allez mettre en place de très importants rituels qui auront pour but de créer des habitudes durables qui s’assureront que votre routine avant le coucher est propice à une bonne nuit de sommeil et un endormissement rapide.

Concrètement pour moi qu’est ce que cela a changé ? Plein de choses ! Je n’ai plus mon smartphone dans ma chambre et j’abandonne tout écran 1 à 2 heures avant mon coucher. Je mange plus tôt, je fais du sport en soirée, je bois une boisson chaude et réconfortante chaque soir et j’ai pris l’habitude de faire 5 minutes de rangement avant d’aller au lit (une petite mesure qui ne paie pas de mine comme ça, mais essayez) en plus de préparer sur une liste ma to-do du lendemain.

Et surtout…j’ai repris la lecture ! C’est bien simple, je n’ai jamais autant lu que ces 3 derniers mois. Adieu Netflix, bonjour l’endormissement en 10 minutes. Dreem propose aussi des rituels matinaux, ainsi maintenant quand l’alarme intelligente me réveille, je bois directement un grand verre d’eau et procède à quelques salutations au soleil. Je suis mieux dans mon corps, mieux dans ma journée, je sais ce que j’ai à faire (grâce à ma liste préparée au soir) et me sens moins groggy.

Sans ce programme et sans Dreem, ma régularité ne m’aurait certainement pas permise d’adopter de telles habitudes, et Netflix aurait sans doute réintégré la chambre à coucher quelques jours après la prise de décision de changer de routine en soirée.

Le programme Regain de sommeil :

Voici un programme conçu pour les bons dormeurs qui sont simplement en privation de sommeil (un phénomène qui touche de plus en plus de monde) et ont besoin d’améliorer et de changer certains de leurs comportements existants pour se remettre sur la bonne voie et « regagner » le sommeil qu’ils ont perdu en raison de passage à vide ou de mauvaises habitudes.

Le programme engage à :

  • établir un calendrier de sommeil qui vous correspond au mieux
  • adopter de nouveaux horaires de coucher en fonction des objectifs de sommeil fixés
  • mettre en place de bons comportements pour lutter contre le manque de sommeil

Je suis en train de tester ce programme, je compléterai donc cette partie au fur et à mesure.

Le programme restructuration de sommeil

Ce programme bien plus lourd est à destination des insomniaques (qui représenteraient 20 à 30% de la population mondiale), il s’appuie sur des principes et des pratiques la Thérapie Cognitive et Comportementale pour l’insomnie (TCC-i), qui est aujourd’hui reconnue comme étant la thérapie clinique la plus efficace contre l’insomnie et un traitement de première ligne pour lutter contre l’insomnie, en plus d’être sain puisque non médicamenteux.

Elle rassemble ainsi différentes thérapies/techniques éprouvées pour viser l’apprentissage de nouveaux comportements et établir un plan de traitement structuré et réalisable qui s’étend sur une période de 6 à 8 semaines.

Vous pouvez suivre plusieurs types de TCC, elles se font de manière classique en allant voir un thérapeute chaque semaine qui va vous demander de tenir un agenda de sommeil afin de pouvoir établir un plan.

L’avantage avec une TTC digitale (comme celle que l’on peut suivre avec Dreem), c’est que vous avez moins de contraintes :

  • tout se passe chez vous et vous n’avez pas à vous déplacer où que ce soit
  • l’application est votre coach et le bandeau votre agenda de sommeil, avec lequel il travaille est très riche et détaillé (si vous êtes régulier dans le port de votre bandeau de sommeil bien entendu)
  • vous avez un accompagnement quotidien (vous avez chaque jour une dose d’exercices, de vidéos, de conseils et d’encouragement qui réduisent drastiquement les chances d’abandon)
  • à terme, Dreem vous reviendra sans doute moins cher qu’une séance par semaine sur X mois chez un thérapeute, et les résultats seront au moins aussi bons

Voici plus ou moins comment se déroule ce programme avancé semaine après semaine :

  1. introduction à la science de votre sommeil et dépoussiérage de votre environnement de sommeil (semaine 1)
  2. consolidation de votre sommeil et contrôle du stimulus ( semaine 2)
  3. ritualisation et pratique de technique de relaxation (semaine 3)
  4. lutte contre l’anxiété (semaine 4-5)
  5. mise en place de routines réalistes et applicables sur le long terme et consolidation des acquis (semaine 6 à 8)

Comme l’a déclaré le PDG de Dreem, Hugo Mercier : les tests ont montré que le programme de Restructuration du sommeil de Dreem a un taux de rétention beaucoup plus élevé que les programmes de TTC traditionnels, car les utilisateurs peuvent voir instantanément leurs progrès via l’application, et ils ne sont pas tenus de fournir autant d’effort de leur côté puisque le tracking du sommeil a lieu en arrière plan.

Donc la première impression qui serait de se dire que ce matériel potentiellement gadget est trop cher n’est peut être pas juste. Dreem offre à quiconque un moyen efficace de traiter l’insomnie sans avoir à passer par un thérapeute qualifié (ils ne sont pas nombreux sur le marché).

Le bandeau propose une méthode personnalisée qui guide l’utilisateur dans le processus à date le plus efficace et le mieux étudié par la littérature scientifique, à savoir la Thérapie cognitive et comportementale, qui présente tout de même le sacré avantage d’être saine et non invasive (dans un pays où l’on estime qu’un français sur sept à recourt aux benzodiazépines, je pense que c’est bien de le souligner).

3. Tour d’horizon de l’application Dreem

dreem 2 fonctionnement

L’application Dreem est disponible pour les périphériques iOs et Android. Une fois que vous aurez téléchargé l’application, vous devrez remplir les informations classiques concernant votre profil.

Vous devrez donc entrer quelques détails personnels tels que votre âge, votre sexe, puis répondre à un bref sondage (facultatif) sur vos habitudes de sommeil, afin que Dreem commence à vous cerner.

Une fois que vous avez complété votre profil, vous pouvez jumeler l’application avec votre casque Dreem2. Mon téléphone (Xiaomi Redmi9) a immédiatement reconnu le périphérique et la liaison s’est révélée être un jeu d’enfant.

Mes premières impressions avec l’application furent très bonnes : la navigation est très fluide, la mise en page est élégante, tout est très instinctif et très facile à prendre en mains.

L’application renferme un contenu dingue, vous êtes vraiment dans le cockpit de votre sommeil,, mais le tout reste très minimaliste et très épuré, les concepteurs poussent l’utilisateur à aller chercher l’information, sans la bombarder bêtement à l’écran.

Tout repose sur un système de cartes empilables, ce qui est une bonne manière de présenter un ensemble dense d’informations tout en segmentant la lecture et en insufflant l’envie d’apprendre et de comprendre les fondements du sommeil.

Le système de lecture se veut chronologique, ce qui signifie que vous pouvez scroller quasi infiniment l’écran d’accueil pour faire défiler vos données et conseils passés (des plus récents aux plus anciens).

Cela offre une rétroaction constante de vos comportements de sommeil qui est assez habile pour juger du changement effectué. Un petit filtre par date (au moins les mois) ne serait peut-être pas de trop pour se rendre rapidement à une période donnée.

On retrouve dans lesdites cartes les rapports hebdomadaires de sommeil, les commentaires, les suggestions et les conseils pratiques du coach.

Pour preuve de ce minimalisme, il n’y a que 3 onglets épinglés en bas d’écran :

  • le premier est l’écran d’accueil (icône maison à gauche), qui à l’instar d’un flux Twitter/Facebook présente une liste chronologique sous forme de carte de toutes vos données personnalisées
  • le second est l’onglet « bandeau » (au milieu), situé du milieu et d’où vous pouvez sélectionner différentes techniques de Dreem que nous aborderons juste après. On y trouve également des indications comme l’autonomie actuelle du bandeau la connectivité ou l’activité cérébrale en direct ainsi que la fréquence cardiaque.
  • le troisième (icône éclair à droite) est l’endroit où se trouvent les rapports d’archives sur le sommeil, les données sur les tendances du sommeil ainsi que la liste des programmes Dreem auxquels vous pouvez prendre part (ou votre progression dans un programme actuellement suivi)

Exportation et analyse des données

Si vous êtes comme moi (c’est-à-dire pas une data scientist pour un sou), il y a peu de chance pour que cela vous intéresse, mais sachez que vous avez tout de même l’opportunité d’exporter vos données de sommeil pour les analyser de votre côté ensuite. Pour ceux qui aiment creuser, vous pouvez utiliser la fonction d’export qui décompose vos stades de sommeil en un document CSV pour une exploration plus approfondie des données.

La fonctionnalité que j’aime particulièrement en revanche est la liaison avec l’application Google Fit que j’utilise au quotidien pour tracker mes minutes actives (certains seront peut être réticent à l’idée de donner encore davantage d’informations personnelles au géant de Mountain View).

Deux clics plus tard et toutes vos données de sommeil se retrouvent à l’intérieur de Google Fit en plus de vos paramètres de forme physique, d’exercice et de calories ingérées (si comme moi vous les suivez à l’aide d’une tierce application comme MyFitnessPal ou autre).

Ambiances sonores / bruits blancs

Voici une fonctionnalité bien agréable ! Les bruits blancs sont depuis longtemps largement étudiés par la communauté scientifique pour les effets bénéfiques sur notre sommeil.

Dreem l’a bien compris et les a intégrés dans le paramétrage de chaque exercice de relaxation, ce qui vous permet d’avoir en premier plan la voix du narrateur, et en seconde couche un paysage sonore.

Cela reste optionnel si toutefois vous n’en souhaitez pas.

Ces ambiances sont de bonne qualité et combinent globalement bien avec les exercices de relaxation (d’autant que vous pouvez ajuster les réglages de chaque couche selon vos préférences).

Vous aurez le choix entre les pistes suivantes : pluie, tonnerre, brouillard, ruisseau, café, feu de camp, cosmos, mer et bien d’autres !

Exercices de relaxation

Les exercices de relaxation sont des programmes audio guidés par la voix d’un narrateur.

Ces derniers utilisent des techniques fondées sur des preuves scientifiques issues de la psychologie du sommeil, de la méditation, de la pleine conscience et de la sophrologie, dans le but de vous détendre pour mieux trouver le sommeil.

Pour ceux qui se sont déjà adonnés à la méditation guidée, le principe est le même, avec des exercices variés, de qualité, et surtout, la technologie de conduction osseuse qui renforce l’expérience immersive.

J’ai personnellement été bluffée !

Voici les différents types d’exercices auxquels vous avez accès :

  • Palais Mental : une technique de visualisation bien connue qui intègre la sophrologie et vous fait imaginer dans les moindres détails un endroit physique dans lequel vous vous sentez bien
  • Réminiscence : une autre technique d’imagerie mentale qui vous invite à replonger dans un souvenir heureux
  • Body Scan : une technique classique de médiation, aussi appelée balayage corporel qui vous fait prendre conscience de votre corps pour en chasser les tensions
  • Cognition : une technique basée sur la fixation de votre esprit à des mots aléatoires pour empêcher toute rumination mentale.
  • Respiration : un exercice de respiration guidée pour ralentir votre rythme, ce qui aide à trouver le sommeil (un peu semblable à de la cohérence cardiaque).
  • Apaisement : encore de l’imagerie mentale, aide à se plonger dans un état de calme et de relaxation intense

Tous ces exercices peuvent être paramétrés en durée, et il est certain que vous aurez vos petits préférés. Personnellement je suis très fan du palais mental.

Ce que vous devez savoir à propos de ces programmes de relaxation, c’est qu’ils ne sont pas que de bêtes pistes audio pré enregistrés et qui se déroulent passivement jusqu’à ce qu’elles soient terminées.

La lecture est en fait déterminée par le système de neurofeedback de Dreem, c’est-à-dire qu’elle répond directement, en temps réel, à votre activité cérébrale !

Concrètement, si vous choisissez un exercice de relaxation comme le palais mental qui dure au moins 20 minutes, mais que, comme moi, vous vous endormez en 10 minutes, le bandeau est alors capable de le détecter et le son s’éteint progressivement pour ne pas jouer durant votre sommeil.

C’est très intelligent et ça fonctionne très bien.

Bon, vous pouvez voir qu’il y a de quoi faire, je ronge juste un peu mon frein avec la méditation. Un seul exercice de balayage mental, ce n’est pas assez pour moi, et j’attends que Dreem développe cette librairie. En fait, je rêve secrètement d’un partenariat avec une application comme petit Bambou, afin que le bandeau Dreem soit accompagné d’un abonnement à ladite application, et que toutes les séquences de méditation guidées puissent être jouables depuis le bandeau…si les créateurs de l’un ou l’autre programme passent par là…

La « smart alarm » : le réveil intelligent selon Dreem

Ce n’est pas ici un concept novateur pour ceux qui ont déjà eu affaire à des trackers de sommeil.

Le topo est le suivant : une alarme intelligente ne sonnera que lorsque vous serez dans une phase de sommeil léger ou de sommeil paradoxal et évitera d’essayer de vous réveiller si vous êtes dans un sommeil profond.

Ainsi, le réveil est plus doux, moins brutal.

Le problème, c’est qu’il a toujours été très difficile d’évaluer le sommeil sur des bases telles que des paramètres comme le mouvement et la fréquence cardiaque. C’est là que les données des EEG de Dreem rendent la fonction d’alarme intelligente bien plus précise qu’une bête application de sommeil sur smartphone ou un appareil de type Fitbit (qui ne peut détecter l’activité cérébrale).

Alors évidemment, le dispositif ne peut pas attendre indéfiniment pour vous réveiller, sans quoi vous allez arriver au travail avec une heure de retard tous les jours (mais bien réveillé ceci dit), donc il faut paramétrer une fenêtre de réveil comprise entre 5 et 30 minutes. Étant assez flexible sur mes horaires, j’ai par exemple mis le maximum, sois 30 minutes (j’aimerais qu’il y ai plus) par rapport à mon alarme initiale de 7h. Dreem peut donc me réveiller tous les jours entre 6h30 et 7h30 selon mon activité de sommeil live.

Sur moi cela fonctionne très bien et j’apprécie davantage mes réveils au quotidien.

Les différentes techniques d’endormissement de Dreem

Voilà ce qui me bottait le plus à l’idée de tester le bandeau Dreem ! Étant, vous le savez peut-être, une énorme fanatique de méditation, j’attendais beaucoup le produit au tournant sur ce point !

Mais commençons par le commencement, Dreem propose 3 techniques d’endormissement accessibles tout au long de la journée, à savoir Sieste, Relaxation et Nuit.

Chacune de ces options possède ses propres paramètres à explorer, et là encore, l’ergonomie de l’application est extrêmement intuitive et permet un lancement rapide de n’importe quel programme.

Cette librairie de Techniques mises à disposition par Dreem ne cesse de se développer et s’étoffer au fil des mises à jour, il va donc m’être assez difficile de passer en revue chaque fonctionnalité, mais voici un aperçu pour vous mettre l’eau à la bouche.

Nuit :

C’est probablement la technique de Dreem que vous utiliserez le plus souvent, à moins que vous ne soyez comme moi une grande « sieste addicte ».

Ce programme vous donne accès :

  • à une relaxation de votre choix avant de dormir (pour aider à chasser le flux de pensées et à vous endormir plus rapidement)
  • à l’alarme intelligente (vue ci-dessus)
  • à l’enregistrement complet de vos données de sommeil nocturne (vous n’avez absolument rien à faire) qui seront synchronisés au matin sur l’application en quelques secondes

Quand vient le matin, vous pouvez consulter sur l’application ce qui s’est passé durant la nuit et décrypter la qualité et l’efficacité de votre sommeil (comme je vous l’ai expliqué plus haut dans la partie sur la phase d’évaluation).

En plus des données de stadification du sommeil nocturne dans votre chronologie, l’entraîneur de Dreem fournit également des cartes de conseils personnalisées le matin pour vous alerter s’il y avait quelque chose de notable dans votre sommeil nocturne.

Il peut s’agir, par exemple, de vous avertir de changements perceptibles dans le début de votre sommeil (temps nécessaire pour s’endormir), l’heure de réveil (et le stade de sommeil associé), les réveils nocturnes, la durée totale du sommeil.

Le Dreem Coach a pour but de vous donner de légers conseils, des rappels et des coups de pouce occasionnels pour changer vos comportements.

Sieste :

avis dreem 2
Pif paf pouf, vous voici en quelques seconds prêts pour la meilleure sieste de votre vie !

Sans doute ma fonctionnalité préférée, et ce le sera aussi pour vous si comme moi vous croyez aux pouvoirs d’une bonne sieste, ni trop courte, ni trop longue !

Le principe est ici le même, après être entré dans le mode vous allez choisir :

  • quel exercice de relaxation vous suivre durant votre sieste
  • quel fond sonore vous souhaitez (vous pouvez dormir au son des grillons, du ronronnement d’un chat, du clapotis des vagues, etc.)
  • quelle sera la durée de votre sieste avant le réveil
  • comment vous serez réveillé/ par quel son
  • quelle heure limite ne pas dépasser

Notez que ce n’est pas une simple minuterie qui va décompter le nombre de minutes que vous avez paramétré, Dreem va aller plus loin en utilisant ses capteurs pour déterminer la durée de sommeil active, pendant lequel vous dormez réellement.

Ce n’est que lorsque vous avez atteint votre durée de sieste cible que vous vous ferez gentiment réveiller. C’est juste top pour avoir une sieste réparatrice, objectivement mesurée.

L’inconvénient de cette approche, c’est qu’il vaut mieux avoir un peu de temps devant soi, car si vous réglez une durée de sieste de 20 minutes, il faudra sans doute plus de 20 minutes avant que votre alarme se déclenche ! Vous pouvez néanmoins paramétrer une heure de réveil à ne pas dépasser.

La première fois que j’ai utilisé la fonction de sieste (première d’une longue série), j’ai cru que le programme ne fonctionnait pas puisque 40 minutes se sont écoulées avant que le réveil se déclenche !

Séance de relaxation :

Basé sur les mêmes fonctions que la sieste ou la nuit, le programme de relaxation n’a pas pour but de vous aider à vous endormir, mais plutôt de vous détendre. Il n’y a donc pas de fonction d’alarme, ni de suivi du sommeil, car l’idée est…. de ne pas s’endormir !

Rapports de sommeil

rapports de sommeil

Avoir les données de chaque nuit individuellement, c’est chouette, mais ce que je préfère, ce sont les rapports de sommeil qui arrivent en accueil de l’application chaque semaine, basés sur les 7 dernières nuits passées avec le bandeau.

Ils sont un excellent moyen de suivre la progression de votre sommeil et d’établir une tendance, vous y verrez :

  • la durée d’endormissement moyenne
  • la durée de sommeil moyenne
  • le % de sommeil léger, profond, paradoxal
  • nombre moyen de changements de position
  • nombre de réveils moyens
  • nombre moyen de cycles respiratoires par minute
  • votre agenda de sommeil sur la semaine passée (c.a.d à quelles heures vous vous êtes couché/levé)
  • votre efficacité de sommeil, mis en comparaison à d’autres utilisateurs de Dreem (je trouve ça génial)

Bien que je n’aie pas beaucoup utilisé les données sur les tendances, je peux vraiment voir l’intérêt d’avoir un accès facile aux données sur les tendances à long terme pour savoir, par exemple, si, au fil des semaines, des mois ou même des années, vous dormez plus longtemps, dormez plus vite ou vous vous réveillez moins la nuit.

4. Comment Dreem a changé mon quotidien ?

Voilà qui vient clore ce test du bandeau Dreem2, sans aucun doute le contenu le plus long que j’ai à ce jour mis en ligne sur mon site.

Désolée si j’ai été rébarbative, merci si vous m’avez lu jusqu’ici, mais je ne me fais pas trop d’illusion, je sais que 90% d’entre vous auront directement sauté à la conclusion (je ne peux vous en vouloir) !

Alors je vais tenter de synthétiser tout ce que nous avons vu et vous donner mon avis personnel sur ce bandeau de sommeil.

Les points améliorables :

  • pas de possibilité de se réveiller avec spotify
  • pas de portail pour consulter les données de sommeil depuis l’ordinateur
  • pas d’étui de transport pour les voyages
  • manque un peu de variété dans les séances méditatives à mon gout

Les gros points forts :

  • condensé de technologie, système de suivi du sommeil le plus précis du marché
  • s’appuie sur des techniques non invasives et des traitements de référence à l’insomnie validés scientifiquement
  • tout est appuyé par des programmes de recherches scientifiques innovantes et de belle envergure
  • bandeau très confortable et ne gêne aucunement
  • pas de dépendance technologique développée chez moi (je peux toujours m’endormir facilement sans)
  • aucune onde émise pendant que vous dormez !!!
  • superbe qualité de conduction osseuse, qui fonctionne très bien (donc pas besoin d’écouteurs), procurant une expérience de méditation immersive
  • mise en place de programmes spéciaux en partenariat avec des chercheurs pour faire avancer la recherche scientifique sur le sommeil
  • un prix qui baisse par rapport à la première version malgré l’amélioration du bandeau. Paiement en 3 x 133 € sans frais possible.
  • application à l’UX très satisfaisante, épurée et simple d’utilisation
  • grosse dose de motivation au quotidien via les conseils du coach. Véritable coach de vie & de sommeil.

Alors, comment résumer Dreem 2 ? De manière simple, il s’agit de l’excellent Dreem 1, mais en mieux !

Pèle mêle, le bandeau de sommeil est un moniteur détaillé de votre sommeil, un outil basé sur le neurofeedback, un coach de sommeil au quotidien qui vous permet de revoir vos mauvaises habitudes, un éducateur qui vous fait prendre part à des programmes guidés de sommeil et de relaxation.

Le pire, c’est que je n’ai même pas testé ce qui semble être son meilleur atout, à savoir son application de restructuration du sommeil à long terme, basée sur la passionnante thérapie cognitive et comportementale (qui ne manque pas de backups scientifiques) et conçue pour aider de « vrais patients » souffrant d’insomnie.

Je vous rappelle que moi, je ne « souffrais » pour ainsi dire de rien, mais que j’ai tout de même drastiquement amélioré mon sommeil en revoyant mes habitudes. En 3 mois seulement je me suis rendu compte que si je n’avais pas de troubles spécifiques, je portais tout de même les vices de notre société moderne.

Alors qu’est-ce qui a changé dans ma vie et dans mon lit ?

Terminé le scroll du smartphone dans la chambre pendant une heure avant d’aller au lit, ou la série Netflix sur mon canapé, j’ai repris la lecture chaque soir, une heure avant de dormir.

Terminé aussi les légers maux de tête au réveil ou les débuts de journée groggy. Terminé les demi-heures à me tourner dans tous les sens en réfléchissant à ce que je dois faire le lendemain, mes nuits commencent maintenant dix minutes chrono après la fermeture de mes yeux.

Pour rien au monde je ne reviendrais à mon ancien système, je me sens globalement plus fraîche et énergique au quotidien, et je rappelle que je n’avais pas de problème particulier avec mon sommeil, oui j’insiste parce que dans mon précédent avis sur Dreem, je disais que ça me paraissait plutôt être une solution pour les personnes vraiment atteintes de troubles du sommeil.

Ce qui m’amène à mon nouveau point : même si Dreem 2 est à la base destiné aux insomniaques et aux personnes ayant des problèmes de sommeil, il semble finalement être utile à toute personne qui s’intéresse à son sommeil : du biohacker à l’athlète en passant par l’utilisateur qui s’intéresse à la « quantification de son sommeil » (terme qui vient de la tendance du quantified self).

Concrètement, on est content d’aller au lit, de se faire réciter son petit exercice de relaxation en fermant es yeux (un peu comme lorsqu’on était enfant et que l’on se faisait compter une histoire), et on est excité de recevoir ses statistiques de sommeil tous les matins en plus des rapports détaillés hebdomadaires !

Dreem aide indéniablement a prendre de meilleures habitudes,  dès le lever jusqu’au coucher qui deviennent des rituels (initiés par le simple fait de mettre et d’enlever le bandeau).

Je ne peux que fortement recommander ce produit, qui est sans conteste le meilleur (et le précurseur) de son marché. 5 étoiles pour moi

acheter dreem

Dreem 2, le bandeau qui améliore votre sommeil

Dreem est un solution complète pour les gens ayant des problèmes de sommeil mais pas que : un bandeau qui analyse votre sommeil et propose des techniques de relaxation, le tout couplé à une application qui vous recommande des programmes de coaching sur mesure inspirés des thérapies de référence pour améliorer votre sommeil.

  • propose des programmes de coaching sur mesure pour vous aider à régler vos troubles du sommeil
  • aide à se relaxer et à diminuer le temps d’endormissement avec des techniques de relaxation, de respiration, de méditation et de sophrologie
  • stimule la phase de sommeil profond pour le rendre de meilleure qualité
  • réveille sur une fenêtre de 30 minutes avant votre réveil au moment ou vous êtes le plus proche du sommeil léger afin que vous vous leviez moins fatigué.
  • est fournit avec une app’ mobile claire qui aide à comprendre, analyser et améliorer son sommeil sur le long terme.
  • payable en 3x 133€ sans frais

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QUI SUIS-JE ? Namaste ! Je m’appelle Reyhana et mes origines sont un mélange d’Inde et de Laos. J’en suis fière, et grâce à elles, j’ai eu l’occasion de voyager, j’ai pu m’ouvrir très tôt à l’éveil (non pas religieux, mais spirituel) en m’intéressant de plus près au Bouddhisme, à l’hindouisme, mais aussi à la méditation que je pratique énormément au quotidien. La spiritualité est souvent moquée et confondue avec une pratique d’illuminé, pourtant nombreux sont ses bienfaits, surtout dans notre monde moderne où tout est rapide et dans lequel nos sens sont sur sollicités. Cela fait maintenant plus d’un an que j’ai ouvert ce blog pour vous faire partager un peu de mon univers et vous donner des conseils pour vous initier et progresser. Ce blog n’a rien de moralisateur, au contraire ! C’est un espace ouvert à la critique et à l’échange, dans la lignée des principes de mon éducation. Après tout, je ne suis qu’une « gamine » de 24 ans, en paix avec elle-même et les autres, qui aime partager et surtout recevoir. Sur le plan un peu moins mental et plus physique, je pratique assidûment le Yoga et je suis végétarienne. Voilà, c’est déjà pas mal pour un début, pour faire plus amples connaissances, c’est à côté => « Nos pensées, nos paroles et nos actes en harmonie » – Ghandi