plantes ayurvediques

【TOP 10+】Meilleurs plantes de la Médecine Ayurvédique

La médecine ayurvédique repose sur la guérison par l’utilisation de plantes « magiques », et ce depuis des milliers d’années. L’ayurvéda est le système traditionnel de guérison en Inde, on y recense plus de 5 000 herbes médicinales !

Ayurveda signifie littéralement connaissance (veda) de la vie (ayu). Tout est question d’équilibre en ayurvéda : équilibre dans le sommeil, équilibre dans la nourriture, équilibre dans l’exercice, l’activité, l’activité sexuelle…et quand vous avez créé un équilibre, tout fonctionne parfaitement dans le corps.

En Ayurveda, on dit que : « Ce qui guérit prévient aussi.« . Ainsi, les herbes médicinales efficaces dans le traitement de maladies spécifiques peuvent également servir d’aliment.

Par exemple, le curcuma, devenu populaire pour ses propriétés anti-inflammatoires, peut également être consommé comme épice culinaire par les personnes qui cherchent à prévenir les maladies de façon proactive et à se maintenir en bonne santé. Ce n’est pas le cas avec des médicaments, on en prend rarement quand tout va bien !

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Un autre pilier de l’Ayurveda est qu’il y a une synergie dans la nature. Il est important de garder cela à l’esprit lorsque nous isolons et étudions les composés constitutifs spécifiques des herbes.

Bien qu’il soit utile de comprendre les propriétés individuelles des plantes, sachez que les herbes ont généralement des effets multiples plutôt que des effets uniques. En Ayurveda, comme dans d’autres systèmes de médecine asiatique, les herbes sont rarement utilisées de manière isolée, elles sont plutôt combinées.

On utilise les plantes ayurvédiques pour de nombreuses raisons : maintenir une bonne santé, renforcer le système immunitaire, favoriser la concentration et la clarté mentale, calmer ses nerfs, améliorer sa digestion, protéger son corps contre les toxines et soutenir le processus de désintoxication, etc.

De nombreuses herbes ayurvédiques ont des mécanismes d’action communs tels que la réduction de l’inflammation chronique, mais chacune a également des qualités uniques. Pour exploiter leur puissance dans différentes situations, autant en avoir le plus possible à la maison pour se tenir prêt !

Voyons quelles sont les plantes les plus célèbres et pourquoi !

1) L’ashwagandha – idéale pour les stressés et les anxieux

Particulièrement utile pour lutter contre l’anxiété, le stress et le dysfonctionnement des surrénales, l’ashwagandha peut être une bonne alternative aux médicaments antidépresseurs. Elle abaisse les niveaux de cortisol (hormone du stress), et améliore les niveaux naturels de testostérone et de DHEA, des hormones qui aident à maintenir la masse musculaire. Elle calme également l’inflammation.

Ses racines sont utilisées depuis des milliers d’années à des fins médicales. Dans l’ayurvéda classique, on lui attribue les propriétés suivantes :

  • Medhya (favorise le développement intellectuel et cognitif)
  • Balya (augmente la force et la récupération)
  • Rasayana (rajeunissant ou substance prolongeant la vie)
  • Nidrajanana (promoteur du sommeil)

Aujourd’hui, l’ashwagandha est surtout connue pour sa capacité à promouvoir l’énergie et l’endurance sans stimuler le cœur, elle offre également une bonne aide contre l’insomnie. Le plus souvent, l’ashwagandha est administré en doses de 500 mg une ou deux fois par jour, avant les repas. Les réponses maximales sont généralement observées dans les 2 à 4 semaines suivant l’utilisation régulière.

2) L’Arjuna – l’élue de votre coeur

 

Également appelée « Terminalia arjuna« , cette herbe soulage l’angine de poitrine (une douleur thoracique résultant d’un manque d’apport d’oxygène et liée aux maladies cardiaques) en élargissant les vaisseaux sanguins à la manière de la nitroglycérine. Elle renforce les vaisseaux sanguins, les rend plus élastiques et améliore le collagène. L’Arjuna peut être prise pour traiter ou réduire le risque de développer une maladie cardiaque.

3) La curcumine – un polyvalent incontournable

Elle est très connue comme puissant remède naturel contre l’inflammation chronique. La curcumine (un extrait du curcuma) soulage l’arthrite et d’autres douleurs, nettoie les artères, soulage la dépression, aide à l’indigestion, peut aider avec les symptômes du syndrome prémenstruel et de nombreuses affections inflammatoires, telles que la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse. Elle est également utilisée pour réduire le risque de cancer et améliorer le traitement du cancer.

Curcumine et curcuma : Quelle est la différence ?

Le curcuma est une plante. Sa racine est broyée en poudre pour fabriquer ce qu’on appelle « l’épice dorée » qui imprègne de couleur jaune de nombreux plats indiens. En Inde, où l’incidence de la plupart des maladies liées au mode de vie est beaucoup plus faible qu’aux États-Unis, le curcuma est traditionnellement consommé dans la plupart des repas, et ce dès l’enfance.

La curcumine est la principale composante de la plante du curcuma, ne représentant pas plus de 3% de la racine. La curcumine que l’on trouve en suppléments est un extrait concentré conçu pour agir plus rapidement que la racine entière du curcuma.

On lui attribue tellement de bienfaits c’est simple,il existe des études sur la curcumine pour environ toutes les maladies connues, plus de 10 000 études documentent les bienfaits de la curcumine.

C’est pourquoi on recommande généralement de manger régulièrement du curcuma en tant qu’épice pour améliorer la santé sur le long terme.

Le curcuma – véritable trésor de l’Ayurveda

La consommation des rhizomes jaunes de cette plante a d’abord été préconisée dans les millénaires passés par les yogis qui prétendaient qu’elle améliorait la flexibilité et l’intégrité articulaire. Au cours des dernières années, de nombreuses recherches ont été menées sur les principaux composants du curcuminoïde et de la curcumine.

Il a été démontré que ces composés procurent de nombreux avantages pour la santé humaine, y compris la préservation de la fonction cérébrale, une activité antioxydante élevée, la régulation de l’inflammation dans des conditions telles que la polyarthrite rhumatoïde et la prévention du cancer.

Les curcuminoïdes ont été utilisés tout au long de l’histoire pour leurs effets anti-inflammatoires. Des recherches récentes ont montré qu’ils peuvent supprimer les voies inflammatoires à de multiples endroits.

Les composés dérivés du curcuma suppriment la production de cyclooxygénase-2 (COX-2), de prostaglandines et de leucotriènes tout en préservant la protection de la cyclooxygénase-1 (COX-1). Cela signifie que le curcuma peut fournir un bon effet anti-inflammatoire sans les complications gastriques parfois observées avec d’autres agents anti-inflammatoires comme l’aspirine.

Le curcuma réduit également la synthèse des thromboxanes, ce qui signifie qu’il peut réduire la vasoconstriction et l’agrégation plaquettaire. Le curcuma a démontré une activité antioxydante inégalée. Il est intéressant de noter que la consommation routinière du curcuma peut augmenter significativement les taux plasmatiques de vitamine E en 90 jours.

Bien qu’il faille évidemment beaucoup plus de données pour corroborer l’hypothèse selon laquelle le curcuma est préventif contre le cancer, des études préliminaires ont démontré une grande valeur chimiopréventive.

En raison de la faible biodisponibilité, il est préférable d’utiliser des extraits de curcuma standardisés, qui sont disponibles à 95% de curcuminoïdes. La posologie commence à 600-700 mg une ou deux fois par jour, après les repas. Certaines études ont utilisé des doses allant jusqu’ à 2-3 g/jour dans des conditions chroniques. Cependant, des doses plus élevées peuvent causer des troubles gastro-intestinaux mineurs.

> Lire aussi : les incroyables bienfaits du curcuma : pourquoi vous devriez en consommer

4) Le triphala – un cocktail pour votre flore intestinale

Voici une combinaison très commune dans de nombreux protocoles ayurvédiques, le Triphala n’est pas une plante, mais bien trois ! Le mot sanskrit signifie en fait « trois fruits » (tri = trois, phala = fruit), et il représente la combinaison de :

  • Aamalaki (Emblica officinalis)
  • haritaki (Terminalia Chebula)
  • bibhitaki (Terminalia Belerica)

Cette combinaison standardisée existe en ayurvéda depuis des milliers d’années, et en tant que tels, elle est considérée comme une entité unique.

L’utilisation de Triphala est basée sur un principe clé de la théorie ayurvédique : c’est lorsque la digestion est compromise que la maladie est la plus susceptible de s’installer. À ce titre, deux formules majeures ont été créées pour normaliser la digestion et préparer le terrain pour le bien-être général : le Triphala et le Trikatu (dont nous parlerons plus loin).

Le triphala assure la détoxification digestive en favorisant le péristaltisme et en fournissant une action anti-inflammatoire spécifique aux organes dans le tractus gastro-intestinal inférieur.

Aujourd’hui, le triphala est le plus souvent utilisé par les personnes souffrant de troubles gastro-intestinaux tels que des ballonnements, une digestion lente, une sensibilité alimentaire, une fatigue après les repas ou encore une constipation chronique.

Ce qui est très intéressant, c’est que les composés uniques de chaque fruit semblent avoir des attributs totalement différents lorsqu’ils sont combinés ! Le Triphala est le plus souvent utilisé en capsules standardisées à 50% tanins et à une dose de 500-600 mg avant chaque repas.

Pris de façon régulière, les résultats sont généralement observés en seulement deux semaines. Cependant, il faudra en prendre jusqu’à 4-6 semaines pour obtenir l’effet thérapeutique complet.

5) L’Amla – l’amie des bronches

C’est l’une des trois plantes de la triphala, l’amla (ou aamla),dans les textes de l’Ayurveda, il est mentionné que les propriétés de rajeunissement et de revitalisation de l’ensemble des systèmes du corps résident dans le fruit de l’Aamla. L’Aamla, ou Emblica officinalis (son nom latin) est très répandue en Inde sous deux variétés. L’une est dure, de petite taille et se trouve dans les forêts; tandis que l’autre est plus douce, plus grosse, plus charnue et on la cultive.

Le fruit d’Aamla est surtout utile pour diminuer la chaleur en raison de ses propriétés naturelles. Par conséquent, son utilisation la plus étendue a été observée dans le traitement des maladies associées à l’augmentation de la chaleur corporelle.

Par exemple, elle s’avère très utile dans des maux comme la sensation de brûlure dans les yeux et la plante des pieds, l’augmentation de la soif, ou quand il y a grisonnement immature des cheveux en raison de la chaleur excessive à l’intérieur du corps.

Elle peut également être utilisée en cas d’anémie ou de faiblesse du système immunitaire. Elle est aussi utile en cas de rhumes ou la grippe fréquents, toux persistante, bronchite ou infections des voies respiratoires supérieures. L’amla est également utilisée en association avec la chimiothérapie ou la radiothérapie pour le traitement du cancer.

6) Le boswellia – un puissant anti-inflammatoire

Également connu sous le nom d’encens indien, le boswellia est une herbe anti-inflammatoire utilisée pour soulager la douleur et d’autres symptômes de l’arthrite (ainsi que toutes conditions en « -itis ») ainsi que pour l’asthme, le rhume des foins, le mal de gorge, les crampes menstruelles, les douleurs d’estomac, et même les boutons !

Il peut être combiné avec d’autres herbes ayurvédiques.

7) Shatavari – pour ces mesdames…

Bien qu’elle puisse être utilisée à la fois par les hommes et les femmes pour renforcer le système reproducteur, la shatavari est surtout connue comme un tonique féminin qui équilibre les hormones. L’herbe améliore la fertilité, réduit la sécheresse vaginale lorsque les symptômes de la ménopause débutent (mais aussi après la ménopause) et réduit les bouffées de chaleur.

8) La Margose

La margose, melon amer ou momordique (Momordica charantia) est une courge comestible qui devrait être consommée par quiconque possède des taux de glycémie élevés.

Des données suggèrent que l’action hypoglycémique de la margose peut être expliquée par plusieurs mécanismes indépendants : pour l’un, il a été démontré qu’elle augmente l’oxydation du glucose périphérique ainsi que la tolérance au glucose et la signalisation de l’insuline dans les modèles induits de résistance à l’insuline.

Elle diminue également la gluconéogenèse hépatique, tout en augmentant la synthèse du glycogène.

La margose augmente le rendement d’insuline du pancréas, et fournit également un composé unique appelé polypeptide-P, qui est un mimétique de l’insuline avec une structure similaire à l’insuline bovine.

Il a été démontré que les composés produits par cette intrigante plante réduisent les niveaux de triglycérides d’une manière proportionnelle à la dose dans des essais chez l’animal.

Bien que nous n’ayons pas encore de données humaines corroborant cet effet, les études animales suggèrent que ce « melon amer » pourrait jouer un rôle dans la réduction du risque cardiovasculaire, particulièrement chez les personnes atteintes de diabète ou de syndrome métabolique.

Les produits à base de melon amer sont généralement normalisés en fonction de leurs constituants (les momordicosides et la charantine) et sont habituellement administrés en doses de 500 à 600 mg, deux fois par jour, après les repas. Comme il a une action mimétique de l’insuline, il peut être nécessaire d’ajuster la dose de médicaments hypoglycémiants prescrits en concomitance.

9) Le « Basilic sacré » contre le rhume et la grippe

Le tulsi, aussi appelé basilic sacré est considéré en Inde comme « la Reine des plantes » en raison de ses propriétés purificatrices et apaisantes du corps et de l’esprit.

En tant que thé, le basilic sacré est un remède traditionnel indien consommé contre le rhume et la grippe. Il est également utilisé pour soulager d’autres infections respiratoires comme l’asthme et les allergies saisonnières, ainsi que pour lutter contre le stress et l’anxiété. On retrouve souvent cette herbe dans les compositions à base de plantes médicinales.

En tant que plante sacrée e Inde, il pousse beaucoup dans les jardins des temples, où le parfum riche ouvre les voies respiratoires et, comme certains aiment à le penser, aide l’esprit à s’envoler. Cette plante est aussi originaire d’Afrique de l’Ouest. En Sierra Leone, on l’appelle « Fever Plant« .

Les divers composés que l’on trouve dans la plante ont démontré une activité antimicrobienne et antifongique contre une variété d’agents pathogènes, dont l’Escherichia coli et les Candida albicans. Dans l’Ayurveda classique, le Saint Basilic était utilisé comme antitussif, pour éliminer « l’excès d’humidité dans les poumons ».

Des essais humains récents l’ont confirmé : les données montrant que cette plante peut augmenter la capacité pulmonaire et réduire les symptômes d’une respiration laborieuse.

Il a également été démontré qu’il réduit de façon significative le stress chez les patients souffrant d’un trouble anxieux généralisé. Le basilic sacré peut être pris sous forme de capsule, en thé en extrait liquide. Il est administré en doses de 600 à 700 mg, deux fois par jour, avant les repas. Prévoyez 2 à 4 semaines pour des résultats optimaux.

10) Le neem – un anti bactérien efficace

Le neem possède bien des sobriquets : « Celui qui guérit de tous les maux », le « pharmacien du village » ou encore « l’arbre de liberté » en disent long sur ses effets bienfaiteurs. Plus de 140 composés ont été identifiés à ce jour dans les différentes parties du neem.

On lui attribue depuis des millénaires des effets bénéfiques sur les articulations, le système immunitaire, la digestion, le système nerveux, la glycémie, l’hypertension, la sphère buccodentaire…

Remède contre les infections fongiques, bactériennes et virales, le neem est particulièrement utile pour prévenir et traiter le zona et les douleurs nerveuses associées, ainsi que la teigne.

Il devrait toujours être pris avec de la nourriture, car il abaisse la glycémie et peut entraîner des niveaux trop bas s’il est pris à jeun. Aussi, il ne doit pas être utilisé n’importe comment ni par n’importe qui. Un usage inapproprié peut engendrer des vomissements, des selles molles ou des faims excessives.

11) Le Gymnema Sylvestre – l’allié des diabétiques

Remède à base de plantes médicinales pour l’hyperglycémie et le diabète, le gymnema sylvestre peut également traiter le syndrome de l’ovaire polykystique. Il réduit la résistance à l’insuline et améliore le métabolisme du sucre et de l’amidon et peut aider à la perte de poids.

13) Le trikatu – un cocktail anti flatulences…

Le Trikatu signifie « trois poivrons » ou « trois piments ». C’est une combinaison de poivre noir (Piper nigrum), de poivre long indien (Piper longum) et de gingembre (Zingiber officinale). Tandis que le Triphala donne un coup de main au tube digestif inférieur, le Trikatu quant à lui agit dans le tube digestif supérieur, où il améliore le « feu digestif » nécessaire à la décomposition de la nourriture et l’absorption des nutriments.

Les praticiens ayurvédiques considèrent le Trikatu comme une « formule réchauffante », utilisée pour réveiller Agni (digestion) et détruire Ama (déchets et toxines accumulées).

Selon la théorie ayurvédique, une alimentation de mauvaise qualité et des habitudes alimentaires incohérentes peuvent entraîner des envies de manger malsaines. Cela crée une boucle sans fin, puisque les mauvais choix alimentaires motivés par les fringales renforcent le dysfonctionnement digestif.

Aujourd’hui, nous utilisons le Trikatu pour améliorer la biodisponibilité des nutriments, des médicaments et des suppléments, peut-être en augmentant la production d’enzymes digestives et/ou en améliorant le métabolisme hépatique. Le Trikatu semble également favoriser l’assimilation des aliments par les intestins et aider la vidange gastrique réduisant ainsi la tendance aux flatulences et à la distension tout en améliorant les niveaux d’énergie globale et l’état nutritionnel.

Il a été démontré que le Trikatu réduisait les niveaux de LDL et de triglycérides chez les lapins nourris à haute teneur en graisses. Il a également augmenté les niveaux de HDL cardioprotecteurs.

Le Trikatu peut être consommé sous forme de gélules, généralement pavec les repas. Utilisé de façon régulière, il donne des résultats en deux semaines.

14) L’aloe vera – la plante aux 1000 vertus

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L’ayurveda recommande depuis toujours l’aloe Vera pour un certain nombre de maladies liées à la digestion : comme l’acidité, les flatulences excessives, l’indigestion, la constipation, la perte d’appétit etc..

Les utilisations de l’herbe d’Aloe vera sont nombreuses, le jus frais appliqué sur le visage peut traiter les imperfections. La pulpe extraite des feuilles de la plante peut être prélevée régulièrement pour améliorer la digestion. La pulpe d’Aloe vera peut être bouillie dans le lait et absorbée pour stimuler l’énergie.

Mélangez un peu de poudre de curcuma dans la pulpe d’Aloe vera et appliquez sur la partie affectée pour soulager la douleur et les gonflements des articulations.

15) L’ail

L’ail (ou Lahsun) est considéré comme un stimulant et un régénérateur (en plus d’être un rehausseur de gout en cuisine). La plante est carminative, c’est aussi un bon diurétique et elle possède la propriété de renouveler les tissus endommagés du corps.

Par ailleurs, l’ail aide à la digestion, il a une action apaisante sur le cerveau, il est bon pour les yeux, utile dans les maladies de gorge, aide à éliminer les parasites de l’intestin, soulage tout gonflement etc… Il contient également une vertu unique pour combattre les toxines et augmenter la résistance générale du corps contre une maladie.

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QUI SUIS-JE ? Namaste ! Je m’appelle Reyhana et mes origines sont un mélange d’Inde et de Laos. J’en suis fière, et grâce à elles, j’ai eu l’occasion de voyager, j’ai pu m’ouvrir très tôt à l’éveil (non pas religieux, mais spirituel) en m’intéressant de plus près au Bouddhisme, à l’hindouisme, mais aussi à la méditation que je pratique énormément au quotidien. La spiritualité est souvent moquée et confondue avec une pratique d’illuminé, pourtant nombreux sont ses bienfaits, surtout dans notre monde moderne où tout est rapide et dans lequel nos sens sont sur sollicités. Cela fait maintenant plus d’un an que j’ai ouvert ce blog pour vous faire partager un peu de mon univers et vous donner des conseils pour vous initier et progresser. Ce blog n’a rien de moralisateur, au contraire ! C’est un espace ouvert à la critique et à l’échange, dans la lignée des principes de mon éducation. Après tout, je ne suis qu’une « gamine » de 24 ans, en paix avec elle-même et les autres, qui aime partager et surtout recevoir. Sur le plan un peu moins mental et plus physique, je pratique assidûment le Yoga et je suis végétarienne. Voilà, c’est déjà pas mal pour un début, pour faire plus amples connaissances, c’est à côté => « Nos pensées, nos paroles et nos actes en harmonie » – Ghandi